L’extase
médiévale, les cathédrales, les rois,
La foi impériale
dans la clarté du Christ,
Les mains
audacieuses des immortels artistes,
Le doux délire
des âmes et leur céleste éclat.
Mon prince, je te
vois un fier faucon au bras,
Courir dans les
bois sacrés de nos aïeuls,
Splendide comme
le ciel et svelte comme les glaïeuls
Qui tendrement
emplissent nos yeux de leur joie.
Du haut du bleu
donjon, je rêve à vos baisers,
Aux mots printaniers
que vous versez riant,
À vos caresses
sublimes, aux strophes d’églantier
Que vous couchez
le soir sur mon silence vibrant.
Puisse les dieux unir
les souffles de la brise
Avec la face
d’azur de mes célestes hantises !
Athanase Vantchev de Thracy
Paris, le 11
juillet 2012
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