Die Nacht der Erlösung
À Christine Prevot Empain
Χαῖρε, κεχαριτωμένη, ὁ Κύριος μετὰ σοῦ.
« Sei gegrüsst
Maria, die Du bist voller Gnade,
der Herr sei mit Dir”
Ich weiss,
meine liebe Christine,
die Wunden des Tages
dringen bis zur Seele
Wenn der Gesang des Herzens
an nächtlichen Pfaden erlischt.
an nächtlichen Pfaden erlischt.
Aber einige späte Blumen
voll der Sonne
voll der Sonne
strahlen weiter
wie kleine feurige Sterne
zwischen unsern Wimpern.
Von Deinen
so feinen Händen
nur Blätter eines Apfelbaums
an der goldenen Brust des Abends
Dieser nubeschreibliche Duft von Güte
und Traurigkeit.
Dieser nubeschreibliche Duft von Güte
und Traurigkeit.
Du schaut an, sanft und vorsichtig
Das pale Licht, das vergeht,
gequält vom Wind..
Das pale Licht, das vergeht,
gequält vom Wind..
Und Du wartest, isicher gestimmt,
Das ein Unsichbarer
Dir Leuchtendes sagt
Und Wohlmeinendes !
Das ein Unsichbarer
Dir Leuchtendes sagt
Und Wohlmeinendes !
Aber das
sind nicht Wesen,
die Du mit deinen reinen Augen sehen willst,
sondern die zitternden Farben der Stimmen
ist was Du liebst!
sondern die zitternden Farben der Stimmen
ist was Du liebst!
Das ist
jetz wie ehemals,
wandelnd im herbstlichen Glanz
wandelnd im herbstlichen Glanz
Polygnote aus Delphi
und Niceas aus Athen
erwarten iim griechischen Abendrot
erwarten iim griechischen Abendrot
Die tiefe Nacht der Erlösung
Athanase
Vantchev de Thracy
Almaty (Kazakhstan), le 22 septembre, Anno Domini MMXII
Glose :
Χαῖρε, κεχαριτωμένη, ὁ Κύριος μετὰ σοῦ : locution grecque qui signifie « Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Ave Maria, gratia plena, Dominus tecum (en latin).
Polygnote de Delphes (470 – 440 av. J.-C.) : le plus ancien des peintres grecs dont on a retenu le nom et tout ce que nous savons de lui a été rapporté par des écrivains antiques, tels Pline (23-79 ap. J.-C.), Pausanias le Périégète, c’est-à-dire auteur de descriptions géographiques, de récits de voyage (115 – 180 ap. J.-C.), Dion Chrysostome, c’est-à-dire Bouche d’or (30 – 116 ap. J.-C.). Il est né à Thassos, alors colonie de Paros, mais a été « emmené » à Athènes par le généralissime athénien Cimon et là, il fut adopté par les Athéniens, et reconnu comme l'un de leurs citoyens. On a dit de lui qu'il fut l'amant d’Elpinice, sœur de ce même Cimon (486-461 av. J.-C.) et qu'il fit d'elle un magnifique tableau que l'on appelait Les Troyennes captives.
Nicias d’Athènes (vers 470 –b 413 av. J.-C.) : homme politique et général athénien durant la guerre du Péloponnèse. Membre de l’aristocratie, il est le fils de Héroscamandre, exploitant de mines d’argent, propriétaire de nombreux esclaves et de nombreuses terres. Il œuvre pendant la guerre du Péloponnèse afin de mettre un terme au conflit. Après la mort de Périclès (vers 495-429 av. J.-C.), il devient l'un des plus importants personnages d’Athènes. Suite à la mort de Cléon ( ? – 422 av. J.-C.), Nicias est élu stratège à plusieurs reprises. Modéré, il s'oppose à l’impérialisme agressif des démocrates athéniens, et préside aux négociations avec Sparte après la Bataille de Pylos. La paix déclarée en 421 av. J.-C. est nommée paix de Nicias. La vie de Nicias et son action pendant la guerre du Péloponnèse sont notamment connues grâce à l'une des vies parallèle de Plutarque (46-vers 125 ap. J.-C.), et à L’Histoire de la guerre du Péloponnèse rédigée par son collègue et contemporain, Thucydide (vers 460 av. J.-C. – mort peut-être assassiné entre 400 et 395 av. J.-C.).
Almaty (Kazakhstan), le 22 septembre, Anno Domini MMXII
Glose :
Χαῖρε, κεχαριτωμένη, ὁ Κύριος μετὰ σοῦ : locution grecque qui signifie « Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Ave Maria, gratia plena, Dominus tecum (en latin).
Polygnote de Delphes (470 – 440 av. J.-C.) : le plus ancien des peintres grecs dont on a retenu le nom et tout ce que nous savons de lui a été rapporté par des écrivains antiques, tels Pline (23-79 ap. J.-C.), Pausanias le Périégète, c’est-à-dire auteur de descriptions géographiques, de récits de voyage (115 – 180 ap. J.-C.), Dion Chrysostome, c’est-à-dire Bouche d’or (30 – 116 ap. J.-C.). Il est né à Thassos, alors colonie de Paros, mais a été « emmené » à Athènes par le généralissime athénien Cimon et là, il fut adopté par les Athéniens, et reconnu comme l'un de leurs citoyens. On a dit de lui qu'il fut l'amant d’Elpinice, sœur de ce même Cimon (486-461 av. J.-C.) et qu'il fit d'elle un magnifique tableau que l'on appelait Les Troyennes captives.
Nicias d’Athènes (vers 470 –b 413 av. J.-C.) : homme politique et général athénien durant la guerre du Péloponnèse. Membre de l’aristocratie, il est le fils de Héroscamandre, exploitant de mines d’argent, propriétaire de nombreux esclaves et de nombreuses terres. Il œuvre pendant la guerre du Péloponnèse afin de mettre un terme au conflit. Après la mort de Périclès (vers 495-429 av. J.-C.), il devient l'un des plus importants personnages d’Athènes. Suite à la mort de Cléon ( ? – 422 av. J.-C.), Nicias est élu stratège à plusieurs reprises. Modéré, il s'oppose à l’impérialisme agressif des démocrates athéniens, et préside aux négociations avec Sparte après la Bataille de Pylos. La paix déclarée en 421 av. J.-C. est nommée paix de Nicias. La vie de Nicias et son action pendant la guerre du Péloponnèse sont notamment connues grâce à l'une des vies parallèle de Plutarque (46-vers 125 ap. J.-C.), et à L’Histoire de la guerre du Péloponnèse rédigée par son collègue et contemporain, Thucydide (vers 460 av. J.-C. – mort peut-être assassiné entre 400 et 395 av. J.-C.).
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