Poème de Fabrice Coupechoux
A Athanase et Skiz, amis poètes.
N'as-tu pas vu
les feuilles du peuplier frémir dans le flux de la brise,
le ciel immense, bleu et dégagé de tout nuage?
N'as-tu pas vu
la poésie se révéler dans la valse des deux sphères?
Les éléments socratiques détachant ma vue de l'âme,
Ne les as-tu pas vus ?
Je ne sais.
A présent je vois des yeux
qui brillent d'avoir trop regardé le soleil
qui s'égarent dans le réflexe poétique
Obscurcissant tout.
Fabrice Coupechoux
vendredi 19 septembre 2008
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