JE LÈVE MA COUPE
Je lève ma coupe en écoutant le concert des oiseaux,
La cloche de l’église sonne
Et annonce la venue du soir !
Je ne suis ni joyeux ni mélancolique,
Une grande paix règne dans mon âme
Et je rêve, placide, à un poème
Lumineux d’intelligence !
Les fleurs du jardin
Tournent leur luisante tête vers le ciel,
Le regardent, pleines de tendresse implorante
Et attendent avec une douloureuse impatience
La candide fraîcheur
De la nuit !
Lumière,
Va dire là-bas à tous ceux qui m’aiment
Que je suis vivant encore…
Athanase Vantchev
de Thracy
Paris, le 19 août, 2012
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