vendredi 19 septembre 2008

Poème de Fabrice Coupechoux

Poème de Fabrice Coupechoux

A Athanase et Skiz, amis poètes.

N'as-tu pas vu
les feuilles du peuplier frémir dans le flux de la brise,
le ciel immense, bleu et dégagé de tout nuage?

N'as-tu pas vu
la poésie se révéler dans la valse des deux sphères?
Les éléments socratiques détachant ma vue de l'âme,
Ne les as-tu pas vus ?

Je ne sais.
A présent je vois des yeux
qui brillent d'avoir trop regardé le soleil
qui s'égarent dans le réflexe poétique
Obscurcissant tout.

Fabrice Coupechoux

Aucun commentaire: